C'est un peu le numéro qui fit repartir mon envie de sortir régulièrement des zines et pava la route pour ce que devint par la suite Rad Party en y mélangeant chroniques et textes plus persos.
On y retrouve une des toutes dernières BD que j’ai dessinée (« Rien n’est simple dans ce putain de monde... »), une BD fortement inspiré par la lecture de certains numéros de Cometbus, restant de loin une de mes préférées tant d'un point de vue graphique que de ce qu'elle arrivait à exprimer en peu de mots.
Un numéro qui précéda également un de mes tous premiers séjours à Saint-Etienne (ville que je rêvais de découvrir depuis des années, à force de lectures régulières de ses zines locaux tels que Tokbomb, Violence et Tranzophobia), et probablement une des raisons pour laquelle j'y suis resté à ce point attaché.
Il en fut tiré entre 200 et 300 exemplaires, 44 pages A6 avec une couverture imprimée sur papier beige pour les 100 premières copies.
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